jeudi 30 octobre 2008

Pétition "Mode d'emploi en français"







Il y a un an, vous étiez 14819 à soutenir Denis Robert. Nous pouvons faire mieux, beaucoup mieux. Signez la nouvelle pétition en ligne... (en bas de ce texte). Les paradis fiscaux vous le rendront.

Qui a peur de Denis Robert ?

Depuis quelques jours, on peut lire dans nos quotidiens divers communiqués et un encart publicitaire grassement payé par une société financière qui accuse le journaliste Denis Robert de tous les maux. Etrange pratique que celle de ces organes de presse prestigieux qui se font payer pour passer (sans le moindre commentaire) un texte qui piétine allègrement le travail d’un confrère. Passons !
Une question reste sans réponse : comment est-il possible qu’au cœur d’une tourmente financière historique qui fait apparaître aux yeux des foules ébahies l’incompétence, l’irresponsabilité, la criminelle légèreté des dirigeants de toutes les banques du monde, ces hommes si importants qu’on voit courir à la porte des palais des Républiques pour mendier l’argent des contribuables, perdent leur temps et leur argent à tenter de museler un journaliste solitaire ?
Pour faire simple, rappelons que les chambres de compensation sont ces sociétés inventées par les banques pour simplifier et accélérer les transferts d’argent d’une banque à une autre. Mais aussi les enregistrer. L’outil est pratique. Il a un grave inconvénient : il identifie, et mémorise toutes les transactions interbancaires à travers le monde. Si la majorité de ces mouvements d’argent sont légaux, beaucoup recouvrent des activités criminelles. Et énormément finissent leurs courses dans des paradis fiscaux, à l’abri des regards importuns. La vulnérabilité du système et l’accès à l’information financière passent par ces chambres de compensation internationales.
Il suffirait que les juges aient accès à cette mémoire informatique pour relever le cheminement de l’argent de la fraude et du crime organisé. Il suffirait que cette menace existe pour que les fraudeurs à l’impôt, mais aussi les trafiquants de drogue, d’armes et d’influence retirent leur argent des banques.
Et ça, les banquiers ne le supporteraient pas.
Voilà ce que Denis Robert répète depuis plus de dix ans, à travers ses articles, ses livres et ses films.
Il faut abattre ce type. Ils sont légion à s’y employer.


Les 50 premiers signataires :

Betty Mialet (éditrice). Michel Onfray (philosophe, écrivain).Bertrand Tavernier (cinéaste). Antoine de Caunes (réalisateur). Guy Bedos (humoriste) Bruno Gaccio (auteur). Daniel Cohn Bendit (homme politique). Isabelle Solal (éditrice) Christophe Alévêque (humoriste). Eric Landau (galeriste). Lefred Thouron (dessinateur). Bernard Barrault (éditeur). Martin Messonnier (réalisateur). Lionel Duroy (écrivain) Diego Aranega (dessinateur). Fabienne Vonier (productrice). Francis Boespflug (producteur) . Jacques A. Bertrand (écrivain) Blandine Grosjean ( journaliste) Arnaud Montebourg (homme politique) Jean François Didier (journaliste) Rémi Malingrey (illustrateur). Jean François Diana (professeur université) Arnaud Baumann (photographe) Sébastien Balibar (physicien) Jean-Marcel Bouguereau (journaliste) Claude Sérillon (journaliste) Olivier Besancenot (homme politique). Bernard Barrault (éditeur) Christophe Nick (réalisateur) Florent Massot (éditeur) Pierre Siankowski (journaliste) Denis Labayle (écrivain) Philippe Ostermann (éditeur) Michel Embareck (écrivain) Florence Aubenas (journaliste) Yan Lindingre (dessinateur). Frédéric Bonnaud (journaliste) Benoît Delépine (Grolandais) Gérard Filoche (homme politique) Pierre Jolivet (cinéaste). Pascal Lorent (journaliste). Pierre Péan (journaliste) Régis Latouche (professeur université) Ariane Bouissou (journaliste) Dominique Gros (maire de Metz). Hervé Déplasse (producteur). Guy Seligmann (réalisateur). Didier Porte (humoriste). Francis Kuntz (Grolandais). Hervé Déplasse (producteur).

Son combat est aussi le nôtre

Signez ici et faites tourner : http://www.gopetition.com/petitions/pour-denis-robert-contre-la-crise.html


mercredi 29 octobre 2008

Tss

Le journaliste Denis Robert rejette la proposition de Clearstream
PARIS (AFP)

Le journaliste Denis Robert a repoussé mercredi la proposition de Clearstream de "mettre un terme aux procédures judiciaires engagées contre lui pour diffamation" s'il acceptait de renoncer à la poursuivre et a annoncé qu'il se pourvoyait en cassation.
Dans un mail adressé à l'AFP et intitulé "Non merci Monsieur Tessler (Jeffrey Tessler, PDG de Clearstream ndrl), Denis Robert explique qu'il "décline la +proposition+ de la banque des banques luxembourgeoise sans la moindre hésitation".
M. Robert estime que la proposition de Clearstream, faite le 22 octobre par voie de presse et non directement, "ressemble à une mauvaise plaisanterie" et la qualifie "d'opération de communication bizarre et choquante".
Le 16 octobre, la cour d'appel de Paris avait triplement condamné le journaliste pour diffamation au titre de ses ouvrages "Révélations" et "La Boîte Noire", parus en 2001 et 2002 aux Arènes, ainsi que pour un documentaire diffusé sur Canal + dans lesquels il accusait notamment la société financière luxembourgeoise d'avoir blanchi de l'argent sale.
L'auteur, qui a annoncé mercredi dans son mail qu'il se pourvoyait en cassation, a été condamné en appel à payer un total de 4.500 euros de dommages et intérêts ainsi que plusieurs milliers d'euros de frais de justice.
Clearstream avait proposé au journaliste "de ne pas exécuter les décisions de justice rendues à son encontre et de ne pas poursuivre les instances en diffamation encore en cours pour autant qu'il accepte également de mettre un terme à toutes ces procédures".
Dans un communiqué diffusé peu après, Denis Robert s'était montré favorable à un rapprochement, sans toutefois indiquer s'il acceptait l'offre.
"S'il est vrai que la récente décision en appel est une victoire pour eux", écrit-il mercredi, "je voudrais rappeler que cinq ans plus tôt, pour le même livre (La Boîte Noire), trois autres magistrats avaient condamné la firme à me verser 8.000 euros et jugé mon enquête +sérieuse, de bonne foi+ et +utile+.
"Je me pourvois donc en cassation", annonce-t-il, admettant pourtant ne pas être "assez riche pour vivre tout cela sereinement".
Le journaliste se dit "sûr de la qualité" de son travail et de "l'intérêt des informations obtenues, d'autant plus en ces temps de crise financière internationale".
Denis Robert insiste sur l'importance des membres de son comité de soutien qui lui ont permis de tenir moralement et financièrement.
"Pour eux, autant que pour moi, je ne peux pas accepter cette fausse proposition", souligne-t-il.
"Je maintiens que cette chambre de compensation internationale a accepté que des milliers de clients ouvrent des comptes dans des paradis fiscaux", insiste-t-il. "Mes listes indiscutées et indiscutables le prouvent. C'est important dans cette période de crise financière où le Luxembourg commence à être montré du doigt".
"L'arrogance" de Clearstream "en cette période de crise financière me laisse perplexe et n'entame en rien ma détermination, au contraire", conclut le journaliste.

lundi 27 octobre 2008

Mon Dieu, Clearstream "engageait des Bouchers" !

A l'audience du tribunal de première instance de Paris, la 11ème chambre, l'un des trois avocats de Clearstream également avocat de Charlie Hebdo, à fait une Révélation devant un public médusé et un juge somnolant.
C'est la première fois que j'assistais a une audience, j'étais venu "pour voir", puis un peu pour comprendre l'acharnement d'une machine contre un individu. Ce jour là, le tribunal devait juger des enquêtes de Denis Robert, dont deux livres, Révélations et La boite noire ainsi qu'un film, Les dissimulateurs (bac film). Pas de bol pour moi, le film qui m'a fait prendre conscience que nos amis de la firme luxembourgeoise se foutaient de nous (vous et moi), n'était pas poursuivi. Et je m'étonne que les propos du film "L'affaire Clearstream racontée à un ouvrier de chez Deawoo" n'aient pas été poursuivi. Je m'étonne car ce qui y est expliqué est grave. Très grave. Mais soit, la firme n'a sans doute pas trouvé de quoi attaquer. Elle ne se serait certainement pas géné.

Ah oui, la révélation : Selon la tirade de Malka, Clearstream engageait des "bouchers... ".
Ben voila, ca explique les coupes franches dans les budgets nationaux.

Le dico bancaire
Aujourd'hui ;

Boucher : Expert comptable qui a inventé un systeme bancaire appelé Clearing et qui travaille pour le syndic des abbatoirs de Luxembourg. Accessoirement, ancien numéro 3 de la banque des banques (ca raconte les raccourcis)

Quand on entend çà, on se demande ce que reproche l'avocat à Denis Robert.

jeudi 23 octobre 2008

Swift - Les banques ne sont plus trop regardantes sur le secret bancaire et le respect de la vie privée.


Le G29 confirme que SWIFT a violé les règles européennes de protection des données

05/12/2006 - En bref

Dans un avis du 22 novembre 2006, le G29 a considéré que SWIFT n’a pas respecté les règles européennes de protection des données en acceptant de communiquer aux autorités américaines les données bancaires transitant par son réseau. L’avis indique que les banques européennes détiennent une part de responsabilité dans cette affaire.

Le G29 est le groupe européen de coordination des autorités de protection des données de l’Union Européenne. A l’issue de sa session plénière des 21 et 22 novembre, le Groupe a considéré que la société SWIFT n’a pas respecté plusieurs dispositions de la directive 95/46 du 24 octobre 1995 sur la protection des données en prêtant un concours actif à la mise en œuvre du programme de surveillance des données bancaires et financières par les autorités américaines.

Le groupe considère que l’absence de transparence et de mécanismes effectifs et adéquats de supervision des transferts de données d’Europe vers la succursale de SWIFT établie aux Etats-Unis, puis de cette succursale aux autorités américaines, représente un manquement grave aux dispositions de la directive. Le Groupe estime que le transfert systématique, massif et à long terme de données personnelles par SWIFT aux autorités américaines, et ce de manière confidentielle et non-transparente, sans base juridique et sans possibilité de supervision indépendante par les autorités européennes de protection des données, constitue une violation des principes fondamentaux des règles européennes de protection des données.

L’avis rappelle qu’un cadre juridique international a été élaboré aux fins de lutter contre le financement du terrorisme. Celui-ci aurait dû être utilisé par les autorités américaines, plutôt que de requérir le concours d’une société européenne sans information des autorités publiques compétentes dans l’UE.
Le G29 considère enfin que les banques détiennent une responsabilité dans cette affaire, même si celle-ci est secondaire par rapport à la responsabilité de SWIFT. Il appelle en outre les banques centrales concernées à initier une réflexion sur une modification de leur mandat de supervision de SWIFT.

Clearstream communique ses lettres de négociation a coups d'encarts publicitaires


On l'attendait hier, ce fameux communiqué de Clearstream. Outre un calcul tout Luxembourgeois du nombre de procès gagné et perdu (voir la liste des procédures en cours plus bas), outre l'amalgame concernant "la chanson" (qui ne concerne pas Clearstream, mais traite des "Voleurs de Foules", une assimilation de propos qui surprend de la part d'une banque sans histoires)

Donc, ce sera pour Vendredi 24 Octobre 2008. Et le voici, inutile de l'acheter.

Fortis, plainte d'outre-atlantique

La justice américaine a elle aussi été saisie dans le dossier Fortis. Christopher Copeland, un investisseur américain, vient en effet de déposer plainte, à Manhattan, contre le groupe bancaire qu'il accuse d'avoir trompé ses actionnaires. Dans sa plainte, Christopher Copeland souligne que les anciens responsables de Fortis avaient faussement présenté l'entreprise comme "une société relativement immunisée contre les conséquences de la crise des crédits".
(belga/bloomberg) - La justice américaine a elle aussi été saisie dans le dossier Fortis. Christopher Copeland, un investisseur américain, vient en effet de déposer plainte, à Manhattan, contre le groupe bancaire qu'il accuse d'avoir trompé ses actionnaires.

Dans sa plainte, Christopher Copeland souligne que les anciens responsables de Fortis avaient faussement présenté l'entreprise comme "une société relativement immunisée contre les conséquences de la crise des crédits". En réalité, estime l'investisseur, "Fortis était à peine solvable et a dû vendre ses actifs à des prix très bas".

Affirmant représenter plusieurs actionnaires, Christopher Copeland réclame des dommages et intérêts.

Aucun commentaire n'a pu être obtenu jeudi du côté de Fortis aux Etats-Unis.

Le groupe a récemment été démantelé, les activités de la banque aux Pays-Bas étant nationalisées et Fortis Belgique tombant dans l'escarcelle de BNP Paribas.

Suite de la proposition publicitaire de CLEARSTREAM Luxembourg Denis ROBERT dit çà ;

Suite à sa “proposition”
dont j'ai eu connaissance par la presse,
Clearstream communique à nouveau cette proposition
par PUBLICITE dans Le Monde.

J'ai bien reçu le message hier
et je trouve la méthode pour s'adresser à moi
étonnante et coûteuse.

J'ai réagi sobrement hier.

J'ai beaucoup à dire,
et malgré une pression certaine (communiqué, publicité...)
qui entraîne des réactions (reprises dans la presse, appels, mails...),
je ne m'exprimerai pas dans l'urgence.

Denis ROBERT

Juncker contre le reste du monde

mercredi 22 octobre 2008

Clearstream achète une pleine page dans Le Monde et Le Figaro


Demain, Jeudi 23 Octobre 2008, les lecteurs du journal "Le Monde" et les lecteurs du Figaro pourront lire en pleine page le communiqué qui suit.

Le communiqué, refusé par le quotidien Libération, étonne les partisans de Denis Robert. D'abord parce qu'il s'agit de trouver un arrangement qui oppose un individu (journaliste) et une multinationale et qu'en règle générale, tout ceci se passe par les petits chemins des avocats.

On est en droit de s'étonner aussi des moyens utilisé pour régler un différent de cette nature. D'autant qu'a y regarder de plus près, la firme cliente de Richard malka (avocat de Charlie Hebdo) s'emporte une fois encore sur l'exactitude du nombre de procès qu'aurait perdu Denis ROBERT. (la liste des procédures en cours se trouve a l'article plus bas).

Ensuite, Denis Robert n'a pas recu le message personnelement. La manoeuvre, même si on peut se féliciter d'un geste de la part d'un fleuron de la mondialisation financiere, semble "business oriented" et plutôt purement communiquante. Denis Robert à déjà apporté sa réponse par le canal AFP. Vous la trouverez sans chercher bien longtemps dans les nouvelles de Google. Enfin, et pour en finir, notons qu'après Clearstream et ses avocats, Jean-Claude Juncker qui s'est exprimé hier soir sur France2, en avait aussi après le journalisme pas sérieux. Qu'ils sont pénibles tous ces journalistes, hein Jean-Claude !


Luxembourg 22 octobre 2008


CLEARSTREAM PROPOSE A DENIS ROBERT DE METTRE UN TERME AUX
PROCEDURES ENGAGEES CONTRE LUI POUR DIFFAMATION

Le 16 juin 2008, Monsieur Denis Robert annonçait qu’il « jetait l’éponge » dans « L’affaire Clearstream», et qu’il renonçait dorénavant à toute intervention publique à propos de Clearstream.

Le 16 octobre 2008, la Cour d’appel de Paris a triplement condamné Denis Robert pour diffamation au titre de ses deux principaux ouvrages « Revélations » et « La Boite Noire », ainsi que pour le documentaire diffusé sur CANAL +, « Les Dissimulateurs ».

A ce jour, c’est donc à 9 reprises que les justices française, belge et luxembourgeoise ont condamné Monsieur Robert et ses méthodes d’enquête, toutes ces décisions confirmant les résultats des enquêtes judiciaires luxembourgeoises et françaises concluant à « l’inanité » des prétendues « révélations » de Denis Robert.

Clearstream, constatant que la vérité est aujourd’hui établie par la justice et que Monsieur Robert a annoncé ne plus vouloir s’exprimer sur cette affaire, accepterait, dans un souci d’apaisement, de mettre un terme aux procédures de diffamation en cours.

Clearstream rappelle à cet égard qu’elle n’a jamais été animée par une quelconque volonté de s’acharner contre Monsieur Denis Robert (auteur de 5 livres, de 2 documentaires, de centaines d’interviews, d’expositions de peinture et même de chansons sur Clearstream) et qu’elle a simplement cherché à établir, sereinement, que les accusations dont elle faisait l’objet n’étaient fondées sur aucune enquête sérieuse.

Dès lors Clearstream propose à Monsieur Robert de ne pas exécuter, à compter de ce jour, les décisions de justice rendues à son encontre et de ne pas poursuivre les instances en diffamation encore en cours pour autant que Monsieur Robert accepte également de mettre un terme à toutes ces procédures.

Il revient donc aujourd’hui à Monsieur Denis Robert, victime de son propre acharnement à diffamer sans relâche Clearstream depuis 7 ans, de mettre un terme ou pas aux contentieux en diffamation dont il se plaint et de se décharger ainsi du fardeau procédural qu’il dénonce tout en en étant à l’origine.

Clearstream:
Bruno Rossignol Tel: +352-243-31500
bruno.rossignol@clearstream.com /

vendredi 17 octobre 2008

Le Luxembourg, ses banques et ses avocats luttent pour un journalisme sérieux


"Verdict au procès de la 11 eme chambre du tribunal de paris. Denis ROBERT perd trois procès en diffamation"

A lire le communiqué de presse de la banque fleuron de l'économie luxembourgeoise, on pourrait se dire que CLEARSTREAM gagne tous ses procès. Le moins que l'on puisse dire est que malgré l'inégalité criante des moyens engagés, la banque du paradis fiscal et judiciare est encore loin du compte.

A noter : lors de l'ITW de Denis ROBERT au tribunal, "un représentant de Clearstream" s'est laché interrompant la sequence pour ensuite se dérober et sembler tout faire pour ne pas être filmé" remarque le Journaliste de FRANCE3.

A voir ici
A la sortie du tribunal, donc, Richard MALKA le défenseur de la liberté d'expression a levé son poing en direction de Denis ROBERT, puis est allé rejoindre son ami Bruno ROSSIGNOL (le chargé de communication de CLEARSTREAM) pour ensemble entamer un petit pas de danse marquant, on suppose, la joie d'avoir lutté pour la liberté de la presse. La classe quoi. Mais je m'égare, nous reviendrons plus tard sur une étonnante conférence sur la liberté de la presse organisée par la Licra de Metz...

Reprenons courageusement les principales procédures intentées par les banques (dont certaines, sont connues pour des fraudes records dont la MENATEP et son fabuleux détournement de fond provenant du Fond Monétaire International)


EN FRANCE

Assignation
REVELATION$

Première instance
Denis Robert condamné à 1 euro

En appel Denis Robert condamné à 1500 euros
(+ 3000 euros de frais de procédure)


Assignation
BOÎTE NOIRE

Première instance
Denis Robert relaxé
Clearstream condamné à 8000 euro

En appel
Denis Robert condamné à 1500 euros
(+ 3000 euros de frais de procédure)

Assignation
LES DISSIMULATEURS

Première instance
Denis Robert condamné à 1 euro

En appel
Denis Robert condamné à 1500 euros
(+ 3000 euros de frais de procédure)

Passage à Tout le monde en parle
L’émission de Thierry Ardisson

Première instance
Denis Robert relaxé

En appel
Jugement non rendu

Interview
Nouvel Observateur

Denis Robert relaxé

Interview
Le Point

Denis Robert relaxé

Interview
VSD

Première instance
Denis Robert condamné à 8000 euros

En appel

Interview
Sud Ouest

Première instance
Denis Robert condamné à 12500 euros

En appel


EN BELGIQUE

Assignation
REVELATION$

Première instance
Clearstream débouté
Appel en cour


Assignation
La BOÎTE NOIRE

Première instance
Clearstream débouté
Appel en cour

Assignation
LES DISSIMULATEURS

Première instance
Clearstream débouté
En appel
Denis Robert condamné à 1 euro
(+ 30.000 euros de frais de procédure


AU LUXEMBOURG

Plainte au pénal pour diffamation
(instruction en cour)

Plainte pour vol et recel de vol
Plainte en diffamation de Clearstream
contre Clearstream l’enquête.
Denis Robert condamné à 1 euro


Actions intentées par FORTIS
Contre les Dissimulateurs et Révélétion$

En France

Denis Robert a gagné
en première instance et en appel.

Puis le jugement a été cassé.
Le procès repart donc à zéro
en mars 2009


Au Luxembourg

Denis Robert a gagné
en première instance et en appel.


Actions intentées par
MENATEP HOLDING
dont le siège est installé à Gibraltar
Contre Révélation$, la Boîte Noire et Les Dissimulateurs

Assignation pour diffamation
en France,
en Belgique,
en Suisse
et au Canada.

12 procédures dans lesquelles
Denis Robert a gagné
en première instance
et en appel.

Menatep a payé 20.000 euros
à l’éditeur Les Arènes.
De plus...


Mise en examen sur plainte de Clearstream
pour “recel de vol et recel d’abus de confiance”

Ainsi que

Plainte de Dominique de Villepin
Instruction en cour


Erwin A

jeudi 16 octobre 2008

Denis ROBERT - News sans pubs

mercredi 15 octobre 2008

Un peu de pédagogie

Contrairement à ce que les juges et les lambdas que nous sommes imaginons, l'argent, lorsqu'il devient "virtuel", continue à laisser des traces. Toutes sortes de traces. Les transactions entres organismes financiers sont inscrites dans la mémoire d'un système qui leur sert de notaire. Rien ne disparait donc des circuits bancaires.

En contrôlant ce système privé que les experts appellent "Chambres de compensation" et qu'aucune presse n'a pris la peine de nous expliquer, les Etats auraient eût une vue globale sur les flux financiers internationaux. En ne réagissant pas au travail de Denis Robert, de Pascal Lorent et d'Ernest Backes, l'Union Européenne et d'une manière générale les individus, se privent d'un outil essentiel de lutte contre la criminalité financière. Cet incompréhensible silence des démocraties, la tolérance paisible de Paradis Fiscaux au cœur de l'union européenne, ajouté aux grands principes de l"autorégulation", participe à un processus qu'on pourrait appeler "un braquage silencieux et perpétuel".

Erwin A.