samedi 25 juillet 2009

Bruxelles - Fraude fiscale mode d'emploi.

(l'enquête disponible sur le site du Soir en Ligne du 25/26 Juillet 2009)

Où la Julius Baer (banque Suisse) sert les intérêts de fraudeurs. La nouvelle n'est pas vraiment une nouvelle mais nécessitait un séreux travail d'enquête. Un site web (Wikileaks) donnait déjà l'information en Avril 2008...

Oui mais voilà. Le site (Wikileaks) est assez peu consulté. Trop peu consulté.

Wikileaks est un site dangeureux. Souvent attaqué en diffamation par des banques dont l'UBS et la Julius Baer , deux banques Suisse, pour ne citer qu'elles, qui n'apprécient guère le contenu du site.

Car voilà, le site héberge des données sensibles sur des gouvernements, des banques et divers organisations criminelles ou pas.

Mieux vaut donc appliquer les précautions d'usage sur les sources disponibles sur Wikileaks car le site, victime de son succès, est aussi contaminé par un certain nombre d'informations tronquées, fausses, montées de toutes pièces. Les "mauvaises langues" pensent que des banques publient aujourd'hui sur wikileaks des informations volontairement tronquées. Afin de noyer le poisson. Mais ce sont des "mauvaises langues".

Quoiqu'il en soit, force est de constater que les informations divulguées par Rudolf Elmer, 53 ans, ancien Banquier Suisse repenti, sont vraies.

A l'image de l'enquête menée par David Leloup qui dans son article publié dans le quotidien belge "Le Soir", révèle le cas Stoclet, où sauvegarde du patrimoine Mondial (Projet Palais Stoclet et inscription du monument de l'Avenue de Tervuren à Bruxelles à la liste des monuments inscrits a L'Unesco) et fraude fiscale se mélangent finalement.

Où comment le contribuable belge est sollicité pour intervenir dans la restauration d'un palais dont l'héritier a volontairement éludé l'impôt.

Retrouvez l'intégralité du montage financier sur le site du Soir en ligne, rubrique "Focus". (section payante)

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mercredi 1 juillet 2009

Tout est dans le lien...

http://www.verite-attentat-karachi.org/

(ou forcement, il est question de paradis fiscaux)